De retour de leur camp d’entraînement, les équipes compétition sont prêtes pour les échéances en grand bassin à venir. Un rappel de l’efficacité et de l’importance des camps d’entraînement pour la performance comme pour les liens interpersonnels.

12. C’est le nombre d’entraînements dans l’eau qui ont été effectués en une semaine de camps à Calella, en Catalogne. Les groupes Performance et Futura se sont réunis pour partager une semaine intense, au bord de la mer, pour développer performances et esprit d’équipe – les Kids étant restés à domicile, coachés par Johnny Gasser, entraîneur historique du CNS dans les années 2000. Chez les Performance, c’est plus de 60 kilomètres qui ont été engrangés par athlète, mêlant technique, intensité et haut volume. Une aubaine pour préparer la saison en grand bassin qui arrive – les Championnats suisses d’avril d’abord, puis les Romands à la fin du printemps.

Un élément indispensable

Organisés à l’étranger en grand bassin deux fois par saison pour les compétiteurs, les camps d’entraînement sont devenus incontournables et font partie intégrante du projet sportif du CNS : proposer des stages de qualité et un fort volume de kilométrage en grand bassin tout en augmentant les synergies entre les groupes. « Le fait de nager en grand bain permet d’optimiser les différentes échéances à venir » explique Charly Acide, entraîneur principal du CNS. « Et de point de vue de la synergie, les camps permettent de solidifier les liens entre les nageurs, et également leur projet sportif ».

Du côté des nageurs, les bienfaits sont également ressentis : « Le camp relance la motivation pour la fin de la saison et renforce les compétences pour la seconde partie de saison en grand bassin  » explique Simon Bocqueraz, nageur dans le team Performance. « Le but est d’aller chercher des qualifications romandes et suisses, et nager en grand bassin permet de nous habituer et de nous préparer ». Tout ceci dans un contexte ou les plus jeunes du team Futura côtoient les nageurs plus avancés au quotidien ; « C’est intéressant d’être avec les plus jeunes qui ne sont, du coup, pas mis à l’écart » déclare Ilona Kenzelmann.

Un cadre idyllique important pour la performance

Le sentiment général est un camp agréable, plus facile qu’à l’automne. Pourtant, le kilométrage était identique pour les Performance et supérieur pour les Futura, signe non seulement de l’influence d’un cadre idyllique comme Calella, mais aussi de la progression des nageurs en l’espace de quelques mois. « On voit une courbe positive de progression, grâce à Charly et au travail du staff et du Comité. C’est très positif » se réjouit Ethan Bonvin.

Les prochaines grandes échéances ont lieu dès la semaine prochaine, à Montreux, pour aller chercher des qualifications romandes et suisses.

Catégories : Natation

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